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Dans Monochromies, Dimitri Dezorty privilégie les formes multiples et les espaces ouverts de l'écrit. Il les conjugue en vue d'organiser la topographie ainsi que l'assemblage des mots.
Portée par l'expérimentation, l'écriture résulte de la tension entre le sens et le code en contestation du lyrisme habituel. Entre rigueur et désordre, émerge une dynamique transversale, disséminée dans le zigzag d'un jeu créatif. Pourtant ces formes brèves ont en dénominateur commun le risque d'obéir à des contraintes, dans l'imaginaire et dans la structure.
Les cycles de Monochromies sont des fragments parfois déroutants, parfois provocateurs, souvent ironiques, mêlant la futilité de l'intime à la netteté du réel.
Sans pour autant chercher à séduire à tout prix, l'aspect ludique et les référents culturels contemporains sont des tentatives d'ouverture aux nouvelles stratégies de subversion convoquées par le poème/objet.
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