80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
En 1978, sur le plateau d'Apostrophes, les téléspectateurs faisaient la connaissance d'un écrivain bourguignon à la moustache gauloise, au parler rocailleux, à l'oeil empli de malice et de bonté : Henri Vincenot. La langue riche et savoureuse de sa Billebaude, sa sagesse souriante, un rien contestataire, leur alla droit au coeur.
Plus de dix ans après sa disparition, Claudine, sa fille, fait ici revivre l'homme que fut Henri Vincenot :
L'écrivain, le poète, le peintre, mais aussi et surtout le père plein de tendresse et de drôlerie, professeur de courage, d'espoir, d'amour de la vie, qu'il sut être pour ses quatre enfants. Auprès de lui apparaît la figure forcément moins connue, mais combien attachante, de sa femme.
Et c'est finalement une merveilleuse histoire d'enfance que nous conte Claudine Vincenot, avec la fraîcheur et l'émotion d'une petite fille heureuse; avec un talent d'écriture, aussi, que son père n'eût sans doute pas découvert sans une secrète fierté.
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