80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Après quelques années à espérer de la Politique une attitude adulte, en profitant de cette position confortable d'attente, j'ai décidé de dépoussiérer un texte écrit en 2006 pour le partager avec ceux et celles qui restent sensibles à l'être humain et qui veulent sortir des castes et des dogmes qui caractérisent notre fonctionnement politique. En restant réaliste sur les enjeux de la société actuelle, sur la mondialisation, il n'y a aucune raison d'écarter l'humain de l'équation.
Chaque citoyen doit faire l'effort de prendre un peu de recul afin de sortir de cette attente, de plus en plus forte, d'un état-providence, qui serait nourrissant et tout-puissant. L'acceptation des contraintes de la vie, de la réalité économique, de l'écologie aussi, semble de plus en plus compliquée. La majorité d'entre nous rejetterait l'idée d'un monde aseptisé, robotisé, mais c'est, malgré tout, ce à quoi nous poussons, nous-mêmes, cette société : vers la performance à outrance, la négation du droit à l'erreur, la recherche frénétique d'un responsable, voire d'un coupable, afin d'éviter d'accepter ses limites, celle de l'humain et de la science.
Nous voulons être rassurés, comme le petit enfant qui attend amour, protection, communication, et limites de ses parents. Les élus politiques doivent devenir davantage des exemples « Adultes » et l'éducation, le développement doivent commencer dès les premières années de vie. Le rôle de tout parent, de tout adulte, consiste à aider les enfants, notamment, à accepter ses limites et à prendre conscience de ses propres compétences à avancer, à évoluer. Faisons-le, mettons nous en marche et demandons d'inscrire cela au coeur de tout programme politique !
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