"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Félix Leclerc a pratiqué tous les genres littéraires, y compris l'autobiographie. Après Pieds nus dans l'aube (1946), qui racontait son enfance heureuse à La Tuque et ses études à Ottawa, celui qui jouit déjà d'une grande renommée en France grâce à la chanson, reprend avec Moi, mes souliers (1955) là où il avait laissé. Remontant dans ses souvenirs, Félix se remémore, non sans émotion ni une certaine mélancolie, les débuts de sa vie d'artiste, depuis sa première visite à Québec, où il entreprend une carrière d'annonceur de radio, en passant par Trois-Rivières et Montréal, où il travaille à Radio-Canada, jusqu'à Paris, où, ayant conquis le public français, il séjourne pendant près de deux ans. Histoire vécue d'un long combat que Félix, l'homme, a remporté sur sa timidité et sur celle de ses compatriotes qui ont mis du temps à reconnaître son talent. Moi, mes souliers révèle un homme simple, rempli d'idéal, qui se met à nu en livrant une courageuse leçon de vie.
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