"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Publiant tel quel son Journal de bachelier ardent durant les années charnières 1938-1941, François Sentein laisse éclater que le bonheur est essentiellement libertaire et rigoureux. Minutes d'un libertin : le titre est beau, un peu énigmatique comme son auteur... Au départ, on trouve un petit Occitan farouche, éperdu de pierres et de chairs également ensoleillées ; une sorte de mouton noir, trop intelligent et sarcastique pour être enragé. Nous suivons ici un très bel itinéraire spirituel qui se parcourt comme le roman le plus charnu. Quand un garçon se dit que son intelligence occulte parfois sa sensibilité (autrement dit : "mon cerveau me tombe sur les yeux"), il n'est pas sur la mauvaise voie. Désormais ce jouisseur ascétique, ce stylite intermittent peut trimbaler sa colonne un peu partout. Et d'abord à Paris, ville des libertés où il lui suffit de se trouver pour être heureux d'un rien, mais ce rien recouvre une exigence constante... Chez Sentein, les lectures les plus rares sont toujours à portée de la main. Mais ce rat de bibliothèque, c'est Mickey Mouse dédaignant les fromages pour creuser les galeries d'un superbe livre de raison.» Antoine Blondin.
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