80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Né dans la Paroisse de Burhale à Lukumbo en 1926, Monseigneur Christophe Munzihirwa a grandi et vécu comme un homme ordinaire de son époque. Après sa prise de possession canonique à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, engagé dans la défense de la vie humaine, il a adopté des attitudes directes pour interpeller les autorités publiques de la RD Congo, de grands lacs et du monde sur le risque que la présence des réfugiés rwandais allait créer dans cette région d'Afrique. Il fut assassiné le 29 octobre 1996. Après autant d'années, l'arbre abattu est encore avec ses feuillages verdoyants. Les différents automnes n'ont pas réussi à le peindre des couleurs de la mort. C'est par ce témoignage, par sa simplicité de vie, qu'il a construit sa pastorale inoubliable. Au sein de l'archidiocèse de Bukavu, comme pour nombreux, c'est une vie pleine de leçons. Mais avec cette tragédie de génocide, bien sûr, il y avait beaucoup plus des risques que des gens retombent dans des scissions. Il a parlé et sa voix se fait encore entendre.
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