Meurtre a la table de billard - une enquete de l'inspecteur trubcock

• Date de parution : 26/02/2000
• Editeur : Hoebeke
• EAN : 9782842300906
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 255
• Collection : (-)
• Genre : Bandes dessinées
• Thème : Bandes dessinées
• Prix littéraire(s) : (-)

Peu maniable, la table de billard n'a rien d'une arme idéale.
Elle va pourtant produire de véritables ravages entre les mains de Gladys Babbington Morton, brillante étudiante dont les recherches portent sur la toxicité des plantes rares. Sur la piste de cette tueuse en série appliquée, adepte... Voir plus

Peu maniable, la table de billard n'a rien d'une arme idéale.
Elle va pourtant produire de véritables ravages entre les mains de Gladys Babbington Morton, brillante étudiante dont les recherches portent sur la toxicité des plantes rares. Sur la piste de cette tueuse en série appliquée, adepte de la cuisine toscane, l'inspecteur Trubcock mène une enquête délicate. Ballotté de l'Ecosse à New York, de San Francisco à Venise en passant par Rio, Zurich, Londres et Amsterdam, il faudra bien toute l'obstination du fin limier de Scotland Yard pour arriver à déchiffrer des indices abscons et à triompher de l'insondable opacité des mobiles.
Huit ans ! La durée record d'une filature pour le moins loufoque est au diapason de l'étrangeté des personnages qui nourrissent l'intrigue : Sorgor Arvidson, le réparateur de cithares rêvant de bâtir un empire industriel de l'éponge ; Tyler Granthe, l'inventeur de gramophones intégrés aux couvre-chefs, jusqu'au robot Mc Nally, complice débonnaire, maladroit et dyslexique... Le monde de Glen Baxter est aussi singulier qu'imprévisible.
Loin de déroger à la règle, Meurtres à la table de billard est une perle du genre. Un roman illustré où l'auteur s'amuse à mêler l'univers de Conan Doyle et d'Agatha Christie à son imaginaire délirant. " Le voyage ne manquera ni de plaisirs ni, pour tout dire, de ravissements ", prévient Salman Rushdie dans sa préface. Acquis de longue date aux facéties saugrenues de Glen Baxter, il rend ici hommage au " travail monstrueux d'imagination qui a pu engendrer ces excentricités désinvoltes ".