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Sylvie Deshors : Mes nuits à la caravane.
Lucile, une jeune fille qui aime faire des rencontres, sa musique et sa bande, Ben, Léna et Djoul. Le jour, ou, une dispute avec son père, elle décide d’aller habiter dans la caravane au fond du pré. Mais celle-ci est imprégné de souvenirs… Et de secret… Car c’est là ou sa mère aimait se réfugié, avant…
Un récit agréable, parfait quant-on veut faire une pause entre deux livres, il n’ai pas long et l’histoire est douce. Elle est du genre réalisme, il y a aussi un peu de policier, du style mystérieux.
L’écriture est simple, il y a n peu de description mais pas au point dans trouver une page, ce sont juste quelques lignes. Il se lit rapidement et facilement. L'écriture est peut-être à mon avis naïve, mais je trouve qu'elle correspond parfaitement bien avec la naïveté quant-on ai adolescent, lorsque qu'on découvre encore la vie. Le seul point négatif que je trouve à cela, est qu'elle est peut-être trop aperçu du point de vu d'un adulte et non d'un véritable adolescent.
Les personnages sont vraiment attachants, surtout Lucile le personnage principale, cela est sûrement dû à son passé douloureux qu'elle a vécu mais je trouvé qu'elle avait quand même un fort caractère ce qui ai formidable. Ce qui m'a fait encore plus m'attaché à elle.
Je le conseille beaucoup, car moi par exemple ce n’ai pas mon genre littéraire préférer, je suis plutôt du genre fantastique. Mais quant-on veut un peu changer de genre sans forcément commencer un énorme roman, celui-là est parfait, ça change énormément. Il n’y a pas une grande action, mais malgré l’histoire cette une atmosphère calme et qui ai vraiment relaxante.
Mes nuits à la caravane c’est l’histoire touchante d’une adolescente.
L’histoire de famille, d’un deuil, de la recherche de soi mais aussi et surtout des réponses aux questions que la descente aux enfers de son père a put créer chez Lucile.
Cette adolescente emménage dans la caravane au fond de son jardin, propriété de sa mère décédée et en profite pour y passer des soirées avec ses amis, Ben, Léna et Djoul.
La caravane devient vite le lieu de refuge de ce petit groupe.
Mais ce choix de l’héroïne cache une réalité beaucoup moins joyeuse, Lucile veut fuir le chômage et l’alcoolisme de son père.
Son quotidien l’épuise, elle ressent le besoin de s’isoler pour se ressourcer.
Un livre touchant mais malheureusement pas pour moi.
Le style d’écriture quelque peu naïf représente bien la perception de l’adolescence par les adultes.
Alors ce n’est pas un défaut, ni même une difficulté pour l’immersion dans le livre mais le problème est là, ce livre ne me correspond pas.
Je suis plus ado mais surtout je ne reconnaît pas mon moi du passé au travers de la narratrice.
Ne me reconnaissant pas dans cette histoire, j’ai eu du mal à en profiter et à en apprécier les péripéties.
Alors peut-être que le plus gros soucis que j’ai eu avec ce livre c’est qu’il arrive trop tard, peut-être qu’il y a 5ans j’aurai adoré ce roman, car il aborde des sujets important pour les adolescents, le fait de devoir assumer un rôle qui n’est pas le sien, le désir de fuir, le fantasme de la vie d’adulte, l’amitié, les premiers amours…
Un livre qui je sais à le potentiel pour plaire à beaucoup notamment à tout ceux et celles qui se reconnaîtront dans l’histoire, une histoire que je recommande pour les adolescents.
C’est l’histoire de Lucile, bientôt 17 ans et une sacrée bande potes, Ben, Léa, Djoul…et même le vieux Louis !
C’est l’histoire d’une adolescence blessée, heurtée en plein élan par la mort d’une mère et la déroute d’un père qui ne sait plus comment tenir debout tout seul à côté de sa fille.
C’est l’histoire de deux douleurs qui ne savent plus cohabiter, communiquer, collaborer.
Dans cet océan de douleur, la caravane au bout du pré semble à Lucile comme une île où enfin respirer, éviter le naufrage programmé par son père, reprendre des forces et rassembler ses troupes.
Je dois à la vérité de dire que, depuis mes propres lectures adolescentes, je n’avais plus ouvert de roman ado et que, bien qu’ayant su rester très jeune ( !!!), je craignais un peu de tomber sur une histoire ultra light entre fleur bleue et Bisounours. Et voilà que je découvre des personnages attachants à la personnalité bien dessinée et plus complexe qu’il n’y paraît, une intrigue qui se noue, un suspens qui s’installe, un décor travaillé et des relations entre les personnages qui évitent l’ornière d’une simplicité attendue.
Bien sûr, quelques maladresses ont un peu freiné mon entrée dans l’histoire, en particulier une forme un peu abrupte de militantisme sans doute destinée à sensibiliser les esprits des jeunes lecteurs à la cause environnementale, mais, dans l’ensemble, j’ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture venue à moi au hasard d’une distribution et qui a su me séduire par la fluidité de sa narration.
Reçu le samedi, lu le dimanche et chroniqué le lundi, ce tout petit livre à la couverture pleine de douceur et de poésie n’a pas fait long feu : aussitôt entré dans la pile à jour, aussitôt sorti, quelle belle vie pour un livre ! Après une lecture fort laborieuse qui m’avait vidée de mon énergie, je sentais que ce roman était ce dont j’avais besoin … Blottie dans mon lit, entourée de ma ménagerie de peluches – je le revendique haut et fort : j’aime les animaux en peluche et ne compte pas m’en séparer ! –, je me suis plongée dans cette histoire qui a illuminée mon après-midi par sa simplicité et son originalité. En moins de deux-cent pages, l’auteur est parvenu à me faire rêver toute éveillée avec cet ouvrage qui a tout du « livre-doudou », à relire à chaque fois que la vie est morne et triste, à chaque fois que l’existence est pesante et lourde …
Depuis la mort de sa mère, quatre ans auparavant, Lucile est seule. Bien sûr, son père est physiquement présent, mais son esprit s’est perdu dans les méandres alcoolisés de sa dépression. Un matin, exaspérée par le comportement de son père, fatiguée de devoir supporter seule le poids du quotidien, la jeune fille décide de s’installer dans la petite caravane au fond du pré, où sa mère venait s’isoler pour peindre et faire réserve de solitude. Petit à petit, ce lieu devient le point de ralliement des jeunes du bourg, qui n’ont nulle part ailleurs pour se retrouver : ce petit hameau du Limousin, comme bien d’autres en France, se meurt à petit feu tandis que les désertions pour la grande ville se multiplient. Lucile elle-même le sait bien : pour poursuivre ses études, pour trouver du travail, il lui faudra quitter Bellac, quitter tous ses amis, tous ses repères … Alors que Lucile hésite à remuer le passé pour comprendre les raisons de la fermeture du restaurant familial, son père semble enfin revenir à la vie …
Ce livre, loin de nous proposer une intrigue palpitante pleine de mystères et de rebondissements, nous conte au contraire une histoire somme toute assez banale, celle d’une adolescente à la croisée des chemins. Quatre ans après la mort de sa mère, Lucile commence à reprendre gout à la vie, mais est bloquée dans son élan de reconstruction par le laisser-aller de son père, qui semble avoir oublié qu’il avait une fille. Alors, Lucile s’échappe pour se retrouver : retranchée dans la caravane de sa mère, la jeune fille réfléchit à son avenir, à sa vie qui ne fait que commencer. Le temps passe, les amitiés enfantines se transforment en amours balbutiants, les après-midi au terrain de jeux laissent place aux soirées festives … et les certitudes deviennent des doutes. Pour pouvoir prendre son envol, Lucile doit tirer un trait sur le passé : elle veut savoir ce qui s’est passé, pourquoi le restaurant de son père a fermé, pourquoi il s’est ainsi laissé submergé par le chagrin au point de ne plus la voir, elle sa fille unique.
Pour Lucile, penser à l’avenir est aussi exaltant qu’angoissant : il va lui falloir quitter ce petit hameau qui l’a vu naitre et grandir, quitter sa belle campagne pour l’immense ville. En effet, même s’ils s’ennuient, même s’ils n’ont qu’une vieille caravane comme lieu de rassemblement, les jeunes de Bellac ne sont pas malheureux de leur sort, et c’est très réjouissant que de montrer que l’adolescence, ce n’est pas uniquement les sorties en ville et les soirées en boite. C’est aussi, tout simplement, une soirée au coin du feu, au son des guitares, à l’orée de la forêt. Quitter ce cocon de verdure est un déchirement pour beaucoup, et certains s’y refusent et choisissent ainsi un métier qui leur permettra d’y rester … Lucile l’exprime à plusieurs reprises : il n’y a que dans la nature qu’elle trouve la paix et l’apaisement, qu’elle trouve le bonheur. Perdue au milieu des bois, couchée à côté de la rivière, la jeune fille se sent bien, tout simplement. Je me suis ainsi sentie très proche de Lucile, puisque tout comme elle, j’ai souvent besoin d’aller m’isoler dans la nature pour retrouver la sérénité et la joie. J’ai d’ailleurs hâte de déménager dans notre futur petit village de 200 habitants perdu au milieu de 1600 hectares de forêt, je me sens étouffer dans ma grosse vallée bien trop peuplée et trop urbanisée pour la petite sauvageonne que je suis !
En bref, c’est bien simple : je suis tombée amoureuse de ce tout petit livre, véritable condensé de douceur qui invite à ouvrir son cœur au bonheur, véritable ode à la nature et à l’amitié, à la musique et à l’avenir … Sylvie Deshors a vraiment une très belle plume, pleine de poésie, elle raconte cette histoire comme on chuchoterai un conte à l’oreille d’un ami. C’est un livre plein de tendresse, de délicatesse, c’est comme une feuille qui virevolte dans les airs avant de se poser doucement au sol, c’est comme un ronronnement de chat. Ça fait du bien. Ça rend heureux. En toute simplicité, l’auteur nous offre une histoire riche en émotions et en enseignements. Pas besoin de faire long, pas besoin de faire compliqué, pour transmettre des messages forts et profonds, pour toucher le lecteur au plus profond de son être …
https://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2018/11/mes-nuits-la-caravane-sylvie-deshors.html
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