80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un carnet de voyages autobiographique de Leila Sebbar, l'inscription de ses Algéries en France.
Récits, fictions, entretiens, portraits et reportages, photos, dessins, papiers froissés d'oranges, aquarelles, BD et cartes postales tissent une mythologie affective, une géographie intime et politique de ses lieux de mémoire et de rencontres.
Elle croise ses « soeurs étrangères », Nora le conteuse, Fatima et sa Singer, Djamala la maquisarde....
Les filles des cités et shérazade. Les femmes de la Goutte d'Or. Les « Fous » d'Algérie, Germaine Tillion, Marthe Stora, Aimée Chouraqui, Pierre Vidal-Naquet... Et Zidane. C'est gai, c'est grave. Maurice Audin, assassiné. Harkis, abandonnés. Zouaves, spahis et tirailleurs d'Afrique, morts pour la France. Chibanis, dans ls cafés, tranquilles. Les figures tutélaires d'Abd el-Kader, Isabel Eberhardt, Pierre Loti.... Mouloud Feraoun, Mohamed Dib, Jean Pélégri, Kateb Yacine et leurs livres. Ses amis artistes et écrivains contemporains. Le jardin de sa mère, la Française, les ruches de son père, l'Algérien.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année