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Depuis la Phénoménologie de la perception jusqu'à Le visible et l'invisible et les derniers cours au Collège de France, Merleau-Ponty n'a cessé d'interroger ce qu'il a d'abord nommé « mystère », « miracle » puis « paradoxe » de l'expression, ce passage de l'expérience muette à la parole qu'il donne à comprendre comme la métamorphose de cette chair sensible du monde dont nous sommes en cette autre chair qu'est celle du langage.
A l'école des voix silencieuses de l'art, de celle de la littérature, et dans la confrontation à l'histoire, le philosophe a ainsi mis à l'épreuve une esthétique du langage décrivant la vie sensible du sens.
Approcher cette pensée qui, dans sa fidélité phénoménologique, ne prétend qu'à amener l'expérience au langage, c'est avoir à refaire ce parcours. La parole s'y découvre dans l'écoute d'une autre, entend en soi son écho, ce qui, pour Merleau-Ponty, signifiait « comprendre ». La présente étude voudrait tenter de donner ainsi à entendre la voix singulière d'une pensée qui demeure pensante dans notre lecture.
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