De façon particulière, les organisations humanitaires internationales, et, globalement l'ONU, se contentent toutes, beaucoup plus de la notoriété acquise au fil du temps et gardent, par conséquent, sous silence l'image de marque qui, du reste, devrait être au centre des préoccupations et des actions menées au quotidien. Dans la majeure partie des cas, les interventions humanitaires perdent leur caractère humanitaire et sont dès lors perçues comme des actions liées à des intérêts latents, non avoués. Et pourtant, sur base d'une perception conséquente et transversale du niveau où elles se déploient, du moment de leurs interventions, des événements intervenus et/ou survenus, du contexte et de la grammaire sociale, les organisations humanitaires (ONU) peuvent s'offrir des opportunités à construire une bonne image d'elles mêmes au sein du macro environnement entaché des préjugés de tous ordres. La médication de la communication à la rescousse des organisations humanitaires de l'ONU se comprend en tant que discours, actions et attitudes dans un environnement de contingence.
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