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Les tatouages sont un voyage. Les marins ont été les premiers à s'en couvrir au XIXe siècle, empruntant leurs traditions aux îles du Pacifique, à la Chine, à l'Afrique, rapportant à New York et au Havre ces traces d'autres mondes. Le tatouage va passer de la peau des marins et des soldats à celle des prisonniers, tous unis par la solitude, l'ennui et l'éloignement. Puis ce seront les prostituées, proxénètes, toute une faune qui ne considère pas le corps comme sacré, mais le véhicule de destins pourris, de vies à afficher publiquement en espérant échapper à l'insignifiance. Les tatoués, bagnards ou mafieux, les «nazes», les «bousillés», sont ceux qui doivent se battre pour le droit d'exister. Ils revendiquent depuis la marge, bras nus et croisés, muscles gonflés, défiant ceux qui n'ont pas à lutter pour survivre, le crime, l'exotisme, l'esthétisme de l'exclusion, affirment qu'il faut du courage pour endurer les souffrances et les coups du sort, les coups de l'aiguille. Les tatouages sont un voyage dans les quartiers mal fréquentés de la République.
Mauvaises vies est une galerie de portraits, de la fin du XIXe aux années 70, de cette contreculture planétaire issue de traditions millénaires et devenue fer-de-lance de la modernité. C'est l'histoire des serpents et des sirènes de la société.
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