80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cet ouvrage s'interroge sur la culture antillaise dans laquelle hommes et femmes usent beaucoup de masques, au sens large, tantôt pour montrer une certaine identité, tantôt pour en dissimuler une autre. Mais comment ces identités se sont-elles constituées ? Comment jouent-elles les unes avec les autres ? La mémoire de l'esclavage marque-t-elle encore ces identités ? Le lien social est-il encore dicible ? A partir de nombreuses enquêtes, l'auteur montre une nouvelle approche de l'identité martiniquaise.
Table des matières Préface I -- Les identités transitives : Altérité, acculturation et déplacement identitaire -- Un oubli de l'histoire, l'Indien martiniquais -- Identité exilaire et identité empruntée -- Les trois fonctions -- Vers une anthropologie de l'espace indo-créole -- Nationalisme et identités -- Le motif dans le tapis et les ressemblances de famille II -- Quelques formes de vie : Le modèle du bestiaire -- Trois catégories désignatives -- Corps portés, corps porteurs -- Magie et désertion du sacré -- Les mécanismes de la magie vindicatoire -- Messianisme, millénarisme et illuminisme III -- Pour une pragmatique de la culture créole : Jeux de langage -- L'humour, l'évitement et l'inclusion -- Le juron, l'injure et l'insulte IV -- Normes, règles et jeux métaphoriques Index -- Bibliographie
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