80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La vie de Maroussia Naïtchenko se confond avec celle d'une génération militante débordante d'énergie et d'espérance. Inscrite dès douze ans aux Jeunesses communistes, elle entre naturellement dans la Résistance à dix-sept ans. Son récit émouvant raconte le quotidien d'une poignée d'adolescents engagés, dès l'été 41, dans le combat armé contre l'occupant nazi. Ce sont l'angoisse de l'arrestation et de la torture, la maladie aggravée par les privations dans la clandestinité, le mariage au camp d'internement de Compiègne, à la veille de la déportation de son ami. Puis l'incompréhensible et douloureuse mise à l'écart par l'appareil politique communiste et, en 1944, l'exclusion du Parti avec la peur d'une exécution sommaire par les camarades. Quand survient la Libération, Maroussia a vingt et un ans, mais la plupart de ses compagnons ont disparu dans la tourmente.
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