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Marie-Antoinette et Axel Fersen : Une romance royale au coeur de la Révolution française

Couverture du livre « Marie-Antoinette et Axel Fersen : Une romance royale au coeur de la Révolution française » de Emile Baumann aux éditions Shs Editions
Résumé:

Embarquez pour un voyage au coeur de l'ère tumultueuse de la Révolution française dans ce récit captivant d'amour, de trahison et d'intrigues politiques. Centré sur la relation énigmatique entre Marie Antoinette, dernière reine de France, et le comte Axel de Fersen, un noble suédois, ce récit... Voir plus

Embarquez pour un voyage au coeur de l'ère tumultueuse de la Révolution française dans ce récit captivant d'amour, de trahison et d'intrigues politiques. Centré sur la relation énigmatique entre Marie Antoinette, dernière reine de France, et le comte Axel de Fersen, un noble suédois, ce récit tisse une riche tapisserie d'amour courtois et de passion interdite.

Marie Antoinette, souvent représentée comme le symbole de la décadence de la monarchie française, est ici présentée sous un jour plus personnel. Attirée par le charismatique et loyal Fersen, son lien avec lui offre un contraste frappant avec le climat politique traître de la Révolution française. Leur correspondance, remplie de déclarations d'amour, donne un aperçu intime de leur relation, montrant un aspect de Marie Antoinette souvent caché dans l'histoire.

Le comte Axel de Fersen, quant à lui, sert de fidèle allié à la reine. Leur relation va au-delà d'une simple romance courtoise, révélant un engagement profond et un dévouement mutuel malgré les tumultes de la Révolution.

Extrait : IL convient à un livre comme celui-ci d'avoir des parties romanesques ; mais je n'ai pas voulu qu'il fût un roman. Aucun épisode n'est fictif ; de rares détails sont supposés vrais, d'après des inductions vraisemblables ; je prends soin, là où elle se dérobe, de ne jamais violenter l'histoire. La discrétion des deux personnages, les ratures ou les lacunes dans le Journal de Fersen, dans ses lettres et celles de Marie-Antoinette, rendent délicates à suivre les phases des sentiments. On serait aujourd'hui ridicule de qualifier « innocente idylle » une liaison si forte et tragique. Sur l'intimité de la Reine et de son ami je me garde pourtant d'une conclusion décisive. Ni l'un ni l'autre n'a fait d'aveux à personne - à personne du moins qui les ait trahis, nul témoignage contemporain n'impose une présomption, encore moins une certitude. Quant aux rumeurs publiques, on sait le peu qu'elles valent à l'égard d'une femme assassinée chaque jour par les plus atroces calomnies et trop souvent insouciante de mettre contre elle les apparences.

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