Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
L'attitude de flâneur excentrique de Henry D. Thoreau était perçue comme provocation : il n'en avait cure parce la marche dans la nature était essentielle à sa liberté ; elle formait le coeur d'un art de vivre exigeant leurs heures de promenade chaque jour. Elle s'insérait dans son idéal de culture de soi. Marcher s'ouvre sur le ton du plaidoyer sente une lutte : marcher pour affirmer sa liberté d'homme, pour ancrer dans l'espace, fuire les villes et les clôtures et mieux penser le monde.
Une promenade en hiver est l'évocation nostalgique d'un paysage enneigé du Massachusetts, où la poésie se mêle de fines observations, dignes d'un naturaliste, sur le changement des saisons. La contemplation de l'hiver, loin d'être morne et triste, est source d'une vitalité cachée, stimulante pour l'esprit.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !