Ce livre aurait pu s'intituler : Mensonges masculins, car tous les hommes y mentent. Tous.
Le personnage principal qui meurt jeune alors qu'il avait promis à sa femme et à ses enfants de vivre jusqu'à quatrevingt- quatorze ans.
Les médecins qui cachent le pronostic fatal.
Les autres hommes mentent pour des raisons équivoques. L'un promet à Géraldine de l'emmener manger des ortolans.
Il ne le fera jamais. Un autre essaiera de ne plus jamais la revoir mais il n'y arrive pas. Un troisième lui propose de la faire voyager sur un tapis volant...
Les hommes sont-ils sérieux ?
Aux prises avec les hommes de sa vie, Géraldine se révèle pugnace et hédoniste. Elle nous livre sans hésiter tous les secrets d'une sexualité toujours liée à des souvenirs de voyages ou de gastronomie. Sensuelle, Géraldine ? Certes !
Mais sensible aussi et émouvante, tout particulièrement lorsqu'elle évoque ses retrouvailles avec le Pays Basque de son enfance.
Cet Euskal Herria qui est finalement l'unique grand amour de sa vie.
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