80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Première monographie consacrée au maître du cinéma portugais (entretien et mise en image de Manoel de Oliveira).
Aniki Bobo, Amour de Perdition, Le Soulier de Satin, Mon Cas, Les Cannibales, Val Abraham, L'Étrange affaire Angelica... L'oeuvre de Manoel de Oliveira est exemplaire en ce qu'elle condense à elle seule toute l'histoire du cinéma. Du muet à l'extrême pointe de la modernité, elle trace, entre maintes ruptures esthétiques, le fil rouge de l'évolution des formes cinématographiques. Rarement les rapports entre cinéma et théâtre ont été posés et expérimentés avec autant de force et de beauté.
La production filmique de Manoel de Oliveira (Porto, 1908-2015) se démarque comme l'une des réalisations les plus originales de l'histoire du cinéma. Son oeuvre a bénéficié d'une portée internationale, en témoigne les nombreuses récompenses des festivals et académies de cinéma du monde entier. Cinéaste à la longévité exceptionnelle, il adapta de nombreuses oeuvres littéraires. Amour et perdition (1978), Francisca (1981), Le Soulier de satin (1985), Non, ou la vaine gloire de commander (1990), Val Abraham (1993) comptent parmi ses plus grands films.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année