"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
D'une exceptionnelle longévité, la carrière de Manoel de Oliveira (né en 1908) s'est déployée dans une constante confrontation de son cinéma aux oeuvres littéraires. Amour de perdition, Le Soulier de satin, La Divine comédie, Val Abraham, La Lettre et plus récemment Singularité d'une jeune fille blonde ou Le Vieux du Restelo sont quelques exemples de ce dialogue du Maître portugais avec des écrivains aussi divers que Camilo Castelo Branco, Claudel, Dante et Dostoïevski, Agustina Bessa Luis, Madame de Lafayette, Eça de Queiros et Camões. Revendiquant pour son art un haut service de la parole littéraire, Oliveira n'en est pas moins le cinéaste d'une liberté absolue, créateur d'une oeuvre qui n'a cessé de se réinventer dans son dialogue avec les grands textes.
C'est à ce dialogue, qui est au coeur de l'une des grandes aventures artistiques de notre temps, que sont consacrées les études ici réunies.
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