80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans l'ouvrage insolite Machinerie à l'usage d'auteurs incertains, Marie-Laure Depaulis s'amuse à proposer des mécanismes pour porter secours à des écrivains acculés à leur page blanche. Qu'y a-t-il de plus dur que de trouver la meilleure chute d'une nouvelle littéraire ? Rien de plus simple avec la "machine à conclure" qui vous permettra de découvrir le dernier mot de votre dernière phrase. Vous craignez d'être un auteur au succès éphémère ? Tendez un fil dans votre salon et faites pendre votre histoire pour qu'elle sèche et se conserve longtemps ! Les romans de Raymond Queneau et le mouvement de l'oulipo sont bien sûr les influences majeures de ces écrits fondés sur des contraintes ludiques et des machines rêvées et loufoques. Les illustrations de Kristina Depaulis accompagnent sous forme de mode d'emploi décalés l'écriture de Marie-Laure Depaulis. Il s'agit d'un jeu de dialogue entre texte et image qui se tisse et qui cherche à impliquer au plus près le lecteur.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année