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M.

Couverture du livre « M. » de Alain Cadeo aux éditions Cahiers De L'egare
Résumé:

IL Y A LONGTEMPS, Alain Cadéo accompagna à voix haute et en mots couchés sur le papier, le voyage utérin du foetus offert par la Vie. Le ciel au ventre, fut le titre fabuleux de ce récit. Aujourd'hui, tiré d'un tiroir, M. est le titre du récit offert par Alain Cadéo à la femme porteuse, la femme... Voir plus

IL Y A LONGTEMPS, Alain Cadéo accompagna à voix haute et en mots couchés sur le papier, le voyage utérin du foetus offert par la Vie. Le ciel au ventre, fut le titre fabuleux de ce récit. Aujourd'hui, tiré d'un tiroir, M. est le titre du récit offert par Alain Cadéo à la femme porteuse, la femme aimée, unique-multiple, singulière-plurielle. Traversé et passeur d'un dire «au-dessus», lui est offert cet énoncé inouï : Aimer c'est goûter du bout des lèvres, du bout de la langue pour voir «quel goût ça a » cette peau et cette âme d'une adorable étrangeté.

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Avis (4)

  • Un chant d’amour poétique voilà ce que nous propose Alain Cadeo avec ses mots choisis … le cheminement de l’âme vers l’âme sœur demeure un véritable mystère qui mérite qu’on s’y penche. Et c’est le bonheur que nous offre ce petit opus ! Chacun des ouvrages d’Alain Cadéo nous emmène à sa façon...
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    Un chant d’amour poétique voilà ce que nous propose Alain Cadeo avec ses mots choisis … le cheminement de l’âme vers l’âme sœur demeure un véritable mystère qui mérite qu’on s’y penche. Et c’est le bonheur que nous offre ce petit opus ! Chacun des ouvrages d’Alain Cadéo nous emmène à sa façon pour un voyage où le mot se fait chair et prend vie. À lire

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  • Qui est Alain Cadéo ?
    Dans ce court texte plein de mystères, l'homme poète-écrivain se dévoile un peu… Beaucoup.
    C'est à nous poètes-lecteurs de prendre, de voir, d'entrevoir parfois les messages qui vibrent et flottent grâce à une musique que tous n'entendront pas.
    Relâché, on doit l'être....
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    Qui est Alain Cadéo ?
    Dans ce court texte plein de mystères, l'homme poète-écrivain se dévoile un peu… Beaucoup.
    C'est à nous poètes-lecteurs de prendre, de voir, d'entrevoir parfois les messages qui vibrent et flottent grâce à une musique que tous n'entendront pas.
    Relâché, on doit l'être.
    Ouvert, il faut l'être pour percevoir, ressentir le cadeau que nous offre l'auteur…

    Un hommage à une femme, pas à n'importe quelle femme, à la femme aimée.
    Un hommage avec les mots de tous les jours qui trouveront ici une place sublimée. Toujours en profondeur, ils restent malgré tout chargés de pudeur.
    Je me retire et m'incline devant le maestro… je ne suis qu'un poète-lecteur…

    Alain Cadéo, a encore une fois agrandi mon horizon, a fait briller mon esprit !

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  • « Ce qui n’est pas formulé meurt avec et dans nous ».
    Magistral, une déambulation onirique, gracieuse. Les mains jointes qui cristallisent ce pour quoi nous sommes au monde.
    « M. » Magnificence, un texte né depuis des millénaires. Un poète-sage : Alain Cadéo . La plume qui crisse sur le...
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    « Ce qui n’est pas formulé meurt avec et dans nous ».
    Magistral, une déambulation onirique, gracieuse. Les mains jointes qui cristallisent ce pour quoi nous sommes au monde.
    « M. » Magnificence, un texte né depuis des millénaires. Un poète-sage : Alain Cadéo . La plume qui crisse sur le papier. Atteindre la sérénité de la Majuscule et commencer l’inaugural verbe.
    Ainsi, doucement, dans l’orée déjà intrinsèque.
    « M. » la mère universelle, la matrice, la genèse du sourire, maternité.
    La septième vague, « l’intime et le trésor caché de nos oublis, une joie échappée, à peine entrebâillée, qui frôle le parfait ».
    Marie-Madeleine, symbole-aurore, le blé qui s’écoule en nos mains, mère des Compagnons du Devoir et plus encore.
    Alain Cadéo rassemble l’épars. Il cherche l’impalpable, sable théologal dans l’oasis des mères-monde. La majesté de la trame est unique. À chacun (e) de trouver la pépite cachée, solitaire et qui n’attend que la venue au monde de la compréhension du premier battement de cœur.
    « Te retrouver dans la balance des heures, dans le silence des absences saturées de désir… Je suis le Robinson de la Madone. Le Vendredi de tes dimanches. M., ma sœur de feu, ma sœur de pierre, ma sœur de chair, n’oublie jamais qu’on est presque jumeaux… Puisses-tu aimer cette ombre de moi-même. Les testaments seuls ont la vie dure ».
    Lire Alain Cadéo, c’est apaiser le chant de la vie. C’est octroyer l’unité de la pensée. Femme et mère et fille-fleuve. Le macrocosme féminin, le regain et bien au-delà l’honneur d’une lecture voie lactée.
    « Te retrouver dans la balance des heures ».À noter une splendide aquarelle de Michel Cadéo en première de couverture.
    Un pur chef-d’œuvre. Publié par Les Cahiers de l’Égaré.

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  • Le poète a toujours raison, qui voit plus haut que l’horizon
    Le poète Alain Cadéo nous offre une déclaration, Sa déclaration à la femme aimée, à la vie insufflée.
    Avec Christian Bobin et Erri de Luca ? il fait partie de cette fratrie d’âme qui place haut les mots et leur valeur.
    Ces feuillets...
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    Le poète a toujours raison, qui voit plus haut que l’horizon
    Le poète Alain Cadéo nous offre une déclaration, Sa déclaration à la femme aimée, à la vie insufflée.
    Avec Christian Bobin et Erri de Luca ? il fait partie de cette fratrie d’âme qui place haut les mots et leur valeur.
    Ces feuillets retrouvés font revenir les souvenirs à grandes vagues, comme une mer déchaînée, flux et reflux nous entraînent avec lui, dans l’ivresse de cet élixir.
    Un hymne à l’aimée, à la vie, celle qui vibre à l’infini de peu ou de beaucoup.
    Mais c’est aussi une interrogation sur le devenir des mots, sur un monde qui n’en connait plus la saveur, qui n’a plus envie de nuances, qui se contente du bruit et de la fureur d’une vie en préfabriquée.
    Personnellement j’effectue plusieurs lectures, la première avec avidité, frénésie, le cœur pulse notre sang dans nos veines à grands coups, la deuxième lecture est plus apaisée et nous dit les mots, les phrases qui nous ont happés, puis la suivante n’est qu’étreinte, les mots nous embrassent et nous embrasent avec une fraternité et une humanité que l’on sent d’instinct rarissime.
    On referme le livre tous nos sens en éveil, le vent est plus palpable, les parfums de la terre plus forts et diversifiés, nous sommes conscients d’une vie qui est là, loin du battage médiatique et qui ne demande qu’à être cueillie, celle qui bat, fragile comme le cœur de l’oisillon au creux de nos mains.
    « Aimer c’est goûter du bout des lèvres, du bout de la langue pour voir « quel goût ça a » cette peau et cette âme d’une adorable étrangeté. »
    Je ne sais pas si l’auteur a conscience de ces liens tissés avec ses lecteurs et que ses mots nous enrichissent car ils nous font aller au plus profond de nous-mêmes. Je ne sais mais je l’en remercie car la valeur en est incommensurable.
    Alain Cadéo a raison de nous faire « battre le cœur » car de ses lectures nous ressortons plus vivants, plus habités par ce quelque chose qui fait notre humanité.
    Tout en nuance et délicatesse les mots partagés nous réapprennent à vivre ensemble, redécouvrir les possibles, voir et sentir au-delà.
    M. c’est un prénom mais aussi l’initial de merveilleux.
    Je salue les choix éditoriaux de cette maison d’édition, l’objet est un petit bijou et l’aquarelle de Michel Cadéo est sublime.
    ©Chantal Lafon
    https://jai2motsavousdire.wordpress.com/2023/03/18/m-alain-cadeo/

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