80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le propos est de contribuer à la transformation de ce qui aujourd'hui, dans l'espace public, a les apparences d'une querelle mettant aux prises l'universalisme et ce qui est présenté comme des particularismes postcoloniaux en une discussion philosophique de la notion d'universel. En commençant par reconnaître aux dits « postcoloniaux » non pas la position qui leur est prêtée mais celle qu'ils ont pour la plupart effectivement défendue : la visée d'un universel qui soit « véritablement universel » (I. Wallerstein) parce que « riche de tous les particuliers » (Césaire). Il s'agit de montrer que la remise en question d'un universel impérial, « vertical », n'est pas récusation mais invitation à mettre en chantier, depuis le pluriel d'un monde décolonisé, dont aucune province n'a le privilège d'être le centre, un universel de la rencontre, de la traduction, un universel latéral (Merleau-Ponty). L'invitation est donc de construire philosophiquement la notion de (multi)latéralisme.
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