80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La mini-jupe de Mary Quant et le bob de Vidal Sassoon, le pop art et l'op art, Richard Hamilton et David Hockney, Francis Bacon et Lucian Freud, le photographe David Bailey et son égérie, le mannequin Jean Shrimpton, les Beatles et les Rolling Stones, les Who et les Kinks, Emma Peel et sa combinaison-pantalon moulante dernier cri, James Bond, Archigram et ses utopies architecturales : la capitale du XXe siècle n'est plus Paris, mais Londres. Durant les années soixante, la métropole britannique a lancé des tendances qui perdurent aujourd'hui encore. Londres a ouvert la voie et incarné tout ce qui pouvait s'imaginer d'excitant, d'innovant et d'avancé. Les trois phénomènes qui ont favorisé le décollage vers le futur - plus de jeunesse, plus de prospérité et plus de mass-médias - sont les ingrédients des années soixante et de leur culture. Le fait que Londres ait été le théâtre du pop art et non une autre capitale occidentale est le sujet de ce livre. Rainer Metzger réussit à offrir une synthèse lumineuse de ces phénomènes culturels qui ont placé une ville, à un moment donné, au centre de l'attention internationale.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année