Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Romain Bouteille n'a jamais lancé personne, contrairement à tout ce qui se dit ; la seule chose qu'il ait jamais lancée, ce sont des affronts aux commerçants qui portent en priorité le deuil de nos célébrités. Ça et quelques idées en l'air, dans le ciel, bien en altitude, une altitude qui le tient depuis à l'abri des rampements tortueux. C'est ça qui le rend heureux...
Il a également fabriqué le Café de la Gare, un théâtre en anarchie. Et même si ça n'a duré qu'un temps, c'était juste assez pour prouver que c'était possible et que c'était la seule façon pour qu'un théâtre puisse fonctionner.
Il tente actuellement une expérience similaire dans la Beauce, où il présente aux habitants de la région d'Etampes, « Les Grands Solistes du Chesnay ». (Attention : Théâtre ambitieux !) Les deux vilains.
Deux self-made-penseurs, tous deux très vilains, s'opposent. Ils ont deux choses en commun : une vision catastrophique de « l'organisation ».
Ils s'opposent surtout sur la manière de le « prouver ». Tout est faux s'il entre dans la démonstration un élément « non poétique », c'est-à-dire si peu que ce soit d'obéissance universitaire.
L'autre chose qu'ils ont en commun est d'être le même bonhomme, l'un ayant pondu un « système du monde » amusant mais peu adroit en I970 et le même en 2014 tirant à boulets rouges sur les opinions de ce jeune crétin.
L'auteur.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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