Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
L'odeur de la nuit était celle du jasmin s'inscrit dans la continuité du livre de FLORE, Lointains souvenirs (Éditions Contrejour, 2016) qui proposait une variation autour de la jeunesse indochinoise de Marguerite Duras. Dans ce nouvel opus, elle puise dans ses souvenirs d'enfance, dans les récits de ses grands-parents qui ont vécu à la même période et aux mêmes endroits que Marguerite Duras d'insondables mystères nourrissant ce qu'elle ressent aujourd'hui comme une part d'imaginaire commun entre elle et l'écrivaine. Elle continue ainsi à « inventer photographiquement » une Indochine presque mythique. De courts extraits de textes de Marguerite Duras forment un contrepoint aux photographies en noir et blanc virés au thé. Par ces procédés techniques, l'artiste façonne tout autant qu'elle restitue le monde déployé sous ses yeux pour en extraire des images qui se confrontent à la fragilité des souvenirs et à la capacité de la photographie de créer de la vérité plus vraie qu'une réalité.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !