80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Corrélée aux ondulations de la mondialité, suffisamment continue et étendue pour que l'innombrable des voix puisse s'y entendre de manière éployée et simultanée, la langue nous dessine, nous définit, nous attache à un monde. Elle fertilise la pluralité esthétique, reflète ou diffracte la transmission de l'histoire, du passé et de la culture. Elle renouvelle les vocables, les sonorités, la prose et ouvre vers les mondes. Comment, dès lors, repenser l'oralité à l'aune de la mondialité ? Les littératures francophones offrent les réponses créatrices à cette question, selon leurs espaces propres, leurs exercices textuels, les rapports spécifiques de l'oral et de l'écrit qu'elles exposent. Ces réponses sont ouvertes : elles vont par des dichotomies, par des alliances langagières et culturelles diverses et paradoxales ; elles font revenir à l'actualité du jeu de la mondialité, de l'oralité et de l'écrit.
Les essais ici réunis sont issus d'un colloque tenu à l'Université des Antilles, en Guadeloupe, en février 2019.
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