"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'expérience réunit dans la ville de Boston une poignée de personnages singuliers pour lutter contre les rumeurs de guerre. Autour d'un professeur renommé de l'université de Harvard et de l'un de ses étudiants, des journalistes lancent une rubrique hebdomadaire de fact-checking dans le quotidien The Boston Herald. Chaque semaine à partir du 1er mars 1942, une demi-douzaine de rumeurs sont décortiquées et démenties, à grand renfort de noms ronflants et d'images rassurantes. La notoriété de la chronique intitulée The Rumor Clinic prend rapidement de l'ampleur et fait les honneurs des actualités filmées et de la presse en général. Pourtant, quelques mois plus tard, en 1943, la rubrique disparaît et il ne reste bientôt plus que les spécialistesdésireux de convaincre de la possibilité de contrôler les rumeurs pour s'en souvenir. Seules les archives des services secrets américains permettent de comprendre la fin de cette expérience : on ne touche pas sans risque à la question du démenti médiatique, source première de diffusion de ce que l'on veut cacher...
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