"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au départ, il y a Wagner, le génie, le sublime. Ensuite, son meilleur interprète, un virtuose, Colin Desrousselles, le chef d'orchestre mondialement reconnu. Et puis, il y a les femmes. D'abord celle du maestro : elle vénère son mari, éperdument. Et soudain, à la veille du prestigieux concert de Francfort, il y a les lettres anonymes, des lettres énigmatiques qui affolent le maître et son entourage. D'autant qu'une surprenante fatalité plane sur l'oeuvre célèbre qu'il doit interpréter : "Depuis la création de Tristant et Iseult par Wagner en 1864, trois chefs d'orchestre dirigeant l'opéra sont morts pendant la représentation : l'autrichien Félix Mottl en 1911, l'allemand Josph Keilberth en 1968 et l'italien Guiseppe Sinopoli en 2000. Ils sont tous trois morts la baguette à la main pendant le deuxième acte de Tristan et Iseult. Les deux premiers à Munich, le troisième à Berlin. Il semble qu'ils aient succombé à un infarctus (faits réels)." Colin Desrousselles sera-t-il lui aussi la proie de cette malédiction ? Alors pour le commissaire Dumongin va commencer une quête à travers toute l'Europe. Une quête où les assassinats rituels et méthodiques servent le dessein d'un serial killer irréductible, halluciné et intemporel.
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