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L'expression de l'altérité dans les littératures africaines et caribéennes contemporaines

Couverture du livre « L'expression de l'altérité dans les littératures africaines et caribéennes contemporaines » de Thierno Boubacar Barry aux éditions Connaissances Et Savoirs
Résumé:

À l'orée du troisième millénaire intransigeant sur les questions de genre, de droits humains et des libertés individuelles et caractérisé par l'effondrement virtuel des barrières culturelles et spatiales entre les peuples, la notion d'altérité se pose comme une propédeutique à l'épanouissement... Voir plus

À l'orée du troisième millénaire intransigeant sur les questions de genre, de droits humains et des libertés individuelles et caractérisé par l'effondrement virtuel des barrières culturelles et spatiales entre les peuples, la notion d'altérité se pose comme une propédeutique à l'épanouissement de l'Homme sur terre. La compréhension et l'acceptation de l'Autre, l'étranger, devient un axiome du bonheur humain. Une relation dont l'apport fécond est intrinsèquement dépendant d'une parfaite compréhension de soi afin d'accepter l'Autre dans sa différence, son étrangèreté. Perçue comme un double processus dynamique sociopolitique et culturel de quête et d'acceptation de soi et de l'Autre mû par un souci d'intégration sociale, l'altérité devient un thème d'époque et préoccupe foncièrement les romanciers d'Afrique et de la Caraïbe obnubilés par la construction d'un nouveau type d'homme et de femme. Que ce soit le Sud-africain André Brink, le Martiniquais Patrick Chamoiseau, l'Égyptienne Andrée Chedid ou la Sénégalaise Ken Bugul, chacun de ces romanciers, à travers une écriture audacieuse, prêche l'intercompréhension, la réconciliation et le relativisme culturel gages d'une coexistence pacifique.

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