"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La question de l'immigration et de l'exil a marqué la fin du XXe siècle. Les oeuvres issues de l'exil évoquaient souvent le souvenir douloureux d'une perte ou d'un vertige identitaire. Aujourd'hui, une nouvelle génération d'écrivains semble avoir pris le relais. En s'appuyant sur deux romans, Le Voyage des bouteilles vides de Kader Abdolah et Les belles choses que porte le ciel de Dinaw Mengestu, l'exilé apparaît comme un être cosmopolite à la croisée de différentes cultures tout en poursuivant son parcours personnel d'intégration. Le roman iranien d'exil invite à mieux comprendre l'homme, plus particulièrement l'Iranien.
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