"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est une histoire vraie, bien sûr, mais plus que les souvenirs d'un enfant qui chemine vers l'âge adulte, c'est celle de tous les jeunes garçons qui dans les années 50 et 60 se sont retrouvés sur les bancs d'une petite école de village. Chacun y retrouvera les odeurs, les sons qui animaient le quotidien, et de cours de récré en leçons patiemment répétées, de stades de foot en jupes des filles, les souvenirs remontent, universels, omniprésents. Puis il y avait le lycée, les cigarettes fumées dans l'ombre d'un dortoir et les premiers verres qui ouvraient la porte de l'adolescence, les filles toujours, les vacances en camping, le foot encore, le Tour de France, les amitiés qui durent ou s'estompent, la vie de toute une jeunesse. Un récit qui retrace avec justesse, humour et amour ces années qui ont débouché sur mai 68, la fin d'une époque. Comme Pagnol, Christian Becquet était fils d'instit, alors un personnage important des petites communes qui était également secrétaire de mairie, et c'est aussi un tableau passionnant du monde rural et enseignant de cette période charnière qu'il peint.
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