80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La question de la lutte contre l'insécurité occupe depuis quelques années une place importante dans le débat politique congolais. Dans l'optique de pouvoir prendre en charge cette situation insécurisante, l'autorité publique l'a inscrit dans un agenda répressif en exploitant la coercition comme bouclier face à la menace de cette insécurité nouvelle.Par ailleurs,force est de constater que, pris sous l'angle évaluatif, la réaction policière,caractérisée par un stratagème dont la forme reste outrancière,est perçue comme une maltraitance pour les jeunes. En vue de faire face à cette insécurité policière, les jeunes « Kuluna » prennent une certaine distanciation par le choix d'une rupture de dialogue avec la police en vue de rétorquer soit à la maltraitance subie, soit aux arrestations arbitraires,et ce, en adoptant une attitude de vengeance. Il importe,donc, d'adopter une gestion sociale, économique et politique de la violence des jeunes, en termes de création d'opportunités économiques et politiques stimulantes et attrayantes pour les jeunes, par la canalisation et le renforcement des capacités humaines des jeunes,et en fin, par la valorisation du travail et de la rémunération.
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