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Le compositeur suisse Arthur Honegger (1892-1955) a écrit 144 lettres à sa maîtresse Suzanne Charlotte Agassiz (1902-1999) entre 1942 et 1954. Les lettres de Honegger ne sont pas seulement un témoin poétique d'une profonde et difficile relation amoureuse, mais éclairent aussi l'activité créatrice de Honegger, ses relations avec les milieux culturels de Suisse alémanique et présentent sous un nouveau jour la genèse de son oeuvre tardif, comme les Symphonies n° 3 à 5, la Monopartita, le Concerto da camera ainsi que la dernière grande oeuvre, la Cantate de Noël. Elles permettent aussi de beaucoup mieux comprendre l'activité de Honegger en tant que personnalité de la politique musicale internationale, et sont d'un intérêt non négligeable en ce qui concerne les amis et connaissances de Honegger de Suisse et de l'étranger, tels Paul et Maja Sacher, Werner Reinhart, le couple de musiciens et d'éditeurs Scherz, ou le célèbre acteur et beau-frère d'Arthur Honegger, Emil Hegetschweiler. Son cercle d'amis comprenait aussi le dramaturge et diplomate Paul Claudel et le metteur en scène Jean- Louis Barrault. Sans oublier les informations que fournit la correspondance sur l'anamnèse du patient Honegger après son infarctus d'août 1947 aux Etats-Unis. Sa mauvaise santé avait rendu nécessaires des séjours de cure à Bagnoles-de-l'Orne, à Val-Mont et à la clinique Bircher-Benner de Zurich.
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