"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Sirmianne était toujours le pays du vent, des grandes envolées de nuages, du ciel immense...»- Sirmianne, un château «aux trois cent soixante-cinq ouvertures plus une lucarne pour les années bissextiles masquée d'ardoises» imaginé par un fantasque châtelain, un domaine avec ses fermes, ses montagnes, ses bois, son lac de la Nuit et son torrent de la Neige, tout un monde avec ses enchantements et ses drames. Celui de Guyot, le fils aîné qu'un accident défigure et rend aveugle. Sirmianne, c'est aussi Matheline, sa jeune soeur, qui prend soin de lui. Matheline, qui, du monde, ne connaît que Sirmianne, ne rêve que d'amour et de poésie et suit «la force intuitive des mots». - C'est avec Les Yeux de la nuit qu'elle et Guyot scrutent leur coeur et leur âme. Ce regard intérieur, qui est celui de la poésie, peu à peu les élève et leur permettra de s'accomplir.- Poète et romancière, Janine Graveline (1922 -2018), dont Robert Sabatier saluait «l'intimisme tourné vers la rêverie», a notamment publié Les Racines du sable (Chambelland 1977) L'Ombre portée, (Le Pont de l'Epée 1979), Il faut repenser les châteaux et Coeurs et âmes (éditions du Domaine, 2012 et 2014).
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