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Alors que la consommation de vin est en décroissance, les habitudes alimentaires des adultes s'orientent vers des repas plus sains, de type méditerranéen et le vin reste un lien convivial. La diabolisation actuelle du vin, au même titre que les autres alcools, fait culpabiliser même les plus raisonnables. Le plaisir de la consommation modérée du vin, qui est tout sauf un moyen de s'adonner à une addiction, devient une tare pour les dictateurs de l'hygiénisme.
Nous allons dans cet ouvrage rappeler, bases scientifiques à l'appui, la faculté protectrice de la consommation régulière et modérée de vin. D'abord en matière de prévention cardiovasculaire primaire et secondaire, puis sur la prévention du cancer, des maladies métaboliques telles que le diabète, et les effets sur le vieillissement et en particulier son rôle protecteur sur la survenue des démences.
Notre civilisation a toujours été en étroite relation avec le vin. La vinification permet l'extraction et la conservation grâce à l'alcool. Et c'est encore l'alcool du vin qui permet à notre organisme d'absorber les polyphénols antioxydants qui sont bénéfiques pour notre santé. Ne dit-on pas « à votre santé » en trinquant ? L'alcool a été nommé « eau de vie » par les alchimistes européens à partir du Xe siècle qui cherchaient à créer une potion d'immortalité.
Alors pourquoi diaboliser cet élixir qui a été pendant très longtemps un des seuls produits efficaces des pharmacopées de nos anciens ?
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