"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voici le troisième et dernier titre de la série Les Trois secrets d'Alexandra. Après Il faut désobéir qui évoquait Vichy et la collaboration, Un violon dans la nuit qui parlait aux enfants des camps et de la déportation, Viva la liberté ! raconte la résistance.
Rino était un copain de Maurice, l'arrière-grand-père d'Alexandra. C'était un footballeur prometteur dans l'équipe du Red Star, à Saint-Ouen. Il faisait aussi partie d'un réseau de jeunes immigrés résistants, arméniens, espagnols ou polonais, celui de Manouchian. L'affiche rouge apposée sur les murs de
Paris par les Allemands les faisait apparaître comme des étrangers hirsutes et menaçants. Ils ont tous été fusillés. Et Maurice n'a jamais eu le courage de raconter cela à Alexandra. Oser lui dire l'horreur de cette guerre, et aussi les attentats qu'il a été amené à commettre avec Rino. Comment réagirait-elle oe
Mais aujourd'hui c'est vraiment le jour : il l'amène voir son premier match, dans la tribune d'honneur du Red Star. En commentant le jeu, c'est plus facile de parler que les yeux dans les yeux. L'histoire de Rino della Negra et du groupe
Manouchian est réelle. Comme dans les autres titres de la collection, un fil historique positionne les faits en parallèle au déroulement de la fiction
avec en appui des documents d'époque.
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