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Les séleucides et les ptolémées ; l'héritage monétaire et financier d'alexandre le grand

Couverture du livre « Les séleucides et les ptolémées ; l'héritage monétaire et financier d'alexandre le grand » de Le Rider/De Callatay aux éditions Rocher
  • Date de parution :
  • Editeur : Rocher
  • EAN : 9782268058504
  • Série : (-)
  • Support : Papier
  • Nombre de pages : 296
  • Collection : (-)
  • Genre : Histoire
  • Thème : Histoire
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Après Alexandre le Grand, deux grandes dynasties se partagèrent les territoires récemment conquis : celle des Séleucides, qui régna en Orient, et celle des Ptolémées, centrée sur l'Egypte.
Les nouveaux souverains eurent à consolider leur puissance et, pour cela, durent amasser une fortune telle... Voir plus

Après Alexandre le Grand, deux grandes dynasties se partagèrent les territoires récemment conquis : celle des Séleucides, qui régna en Orient, et celle des Ptolémées, centrée sur l'Egypte.
Les nouveaux souverains eurent à consolider leur puissance et, pour cela, durent amasser une fortune telle que leur gloire resplendît et que les dépenses nécessaires à la protection de leurs royaumes fussent possibles à tout moment. Dans le dispositif qui fut élaboré pour drainer les revenus et enrichir le trésor royal, le rôle de la monnaie numéraire ne fut pas sans importance. Les deux auteurs ont montré que chacune des deux dynasties a suivi un modèle monétaire différent, qu'elle a perfectionné et qui apparemment s'est révélé efficace.
Les répercussions de ces choix n'ont pas été sans effets sur l'ensemble du commerce et de la vie économique du monde méditerranéen. Il ne faudrait pas croire cependant que les Séleucides et les Ptolémées ont monétarisé très profondément leurs royaumes. Le voulaient-ils ? Le pouvaient-ils ? D'autres moyens d'échange existaient et les rois avaient probablement intérêt à ne pas les abolir. Il fallait compter avec les habitudes d'une époque qui n'avait pas encore conçu l'idée exposée plus tard par Adam Smith que le développement de la monétarisation était source de progrès et donc de bonheur.

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