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À l'été 1968, deux jeunes de 19 ans, un descendant de Chamoniards, Jean Fabre et un Marseillais, Jean Marie Picard-Deyme, alias Picou, rêvent d'ascensions majeures à Chamonix. Sur les conseils d'alpinistes chevronnés, ils se décident pour celle du Pilier Gervasutti au Mont Blanc du Tacul. Trop confiants, ils partent sans conseiller la météo, sans matériel de bivouac, sans topo... Au début de la voie, ils trouvent un sac sur une vire, qui contient du vieux matériel de montagne. À qui appartenait-il ? Comment est-il arrivé là ? Poursuivant leur progression, ils sont surpris par l'orage, le tonnerre et les éclairs et se perdent. Après un bivouac hasardeux sur une arête, ils finissent par atteindre le sommet du Mont Blanc du Tacul noyé dans les nuages, et se perdent à nouveau à la descente. Le deuxième bivouac dans les séracs est inévitable lorsque, surprise, ils entendent des voix...
Dans ce récit écrit plus de cinquante ans après, Jean Fabre livre avec humour sa vision de l'alpinisme de l'époque. Avec son style décalé, un peu à la San-Antonio, il nous emmène dans cette aventure de jeunes inconscients, innocents qui découvrent sans le savoir le sac de Guido Gervasutti mort tragiquement dans ce pilier le 16 septembre 1946.
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