"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Django Reinhardt est mort à 43 ans le 16 mai 1953, frappé d'une congestion cérébrale. En 2010 est célébré son centenaire. Dans les trois fictions qui constituent ces « vies posthumes », l'auteur imagine que Django a survécu à cette attaque. Dans le premier récit, Django poursuit sa carrière de musicien de jazz et triomphe dans un concert en duo avec Thelonious Monk. Dans le second, Django devient compositeur de musique électro-acoustique, mais doit se couper de sa vie antérieure et s'installe au sommet d'un gratte-ciel dans Manhattan. Dans le troisième, Django, après son rétablissement, se détache de tout ce qui occupait sa vie, le jazz, les musiciens, la guitare, les manouches... et devient un marcheur solitaire dans les rues de Paris. Le quatrième chapitre de ce livre n'est pas une fiction mais une chronique, celle de la postérité que connaît la figure de Django Reinhardt. Et c'est peut-être ce chapitre qui raconte l'histoire la plus extraordinaire : alors que dans les trois fictions Django finit par mourir, la chronique montre comment il a su devenir immortel.
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