Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Si la comparaison n'était pas osée du point de vue du langage, nous dirions volontiers, " Les Poètes malades de la Peste ", rédigé en 1953, est l'" ancien testament " et " Les Sept Piliers de L'État de Poésie " le " nouveau testament " de Georges Haldas.
Pourquoi cela ? Pour révéler combien ces deux textes, qui explicitent le regard et le mouvement intérieur du poète, sont à lire conjointement. Ne traduisent-ils pas une même visée, quand bien même le premier essai est encore engoncé dans une époque qui marque très profondément, pour ne pas dire trop fortement, son auteur ? Le premier n'annonce-t-il pas le second ? Le second supplante-t-il le premier ou se renvoient-ils l'un l'autre ? Ces questions nous paraissent pertinentes et trahissent qu'à nos yeux le contenu du second essai ne vient pas abolir, mais accomplir ce que les mots anciens portaient et annonçaient sans en avoir véritablement et pleinement conscience.
Serge Molla.
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