Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Après Arkandias, la nouvelle saga d'Eric Boisset !
Alors que des guerres ancestrales resurgissent, Liam et sa soeur Elea partent en quête de leur véritable identité...
Vivant jadis en bonne intelligence, humains et roomajads, des lézards humanoïdes, s'affrontent désormais de part et d'autre des « pierres de fumée?» dans une lutte sans pitié pour prendre le pouvoir de l'ensemble du royaume.
Dans ce contexte sombre, Liam et Éléa, des jumeaux aux talents mystérieux, sont enlevés et séparés. Pris dans une guerre dont les enjeux les dépassent, ils comprendront peu à peu ce que chaque camp attend d'eux.
Dans ce premier volume, les jumeaux pressentent que leur enfance a pris fin. Viendra alors pour chacun le temps d'utiliser ses dons uniques...
Je viens de finir le livre et j'en ressors assez mitigé.
Le début n'arrive pas à capter mon attention, la deuxième partie est plus intéressante à mon gout mais j'ai eu du mal à créer un lien avec les personnages, je parle des jumeaux ça s'améliore mais c'est le problèmes du livre.
C'est dommage parce que l'univers est plaisant à découvrir.
Ce premier tome est très introductif : les différents personnages nous sont présentés (Liam et Eléa bien sûr, mais aussi leur père Voltimer, Gofraidh ou encore Esham) et les principaux enjeux se dessinent (les jumeaux ayant été enlevés pour une raison inconnue). S'il faut un peu s'accrocher les premières pages pour bien saisir quel personnage est qui, le reste du livre est très clair et facile à lire. Il n'y a pas énormément d'action, à part au début et à la fin. La majorité du roman est assez lente puisque l'on suit les jumeaux dans leurs différents apprentissages et nouveaux lieux de vie. Même si j'aurais évidemment aimé que le rythme soit plus soutenu, je ne me suis pas ennuyée et je pense que ce premier tome pose bien les bases pour la suite de la saga.
Les chapitres sont très courts et les points de vue toujours différents. L'alternance des chapitres concernent principalement Liam et Eléa, mais nous avons aussi parfois les points de vue de personnages secondaires. Du coup, bien que l'action soit finalement peu présente, le rythme semble pour rapide et les pages se tournent toutes seules. J'ai tout de suite aimé Eléa, très mature pour son âge (elle est censée avoir 12 ans), qui a un caractère bien trempé. Les chapitres qui la concernaient m'ont beaucoup plus intéressée et j'avais à chaque fois hâte de revenir à ses aventures. Liam, lui, m'a laissée de marbre. Ce n'est pas que je ne l'ai pas aimé, mais je n'ai tout simplement pas réussi à m'y attacher, peut-être à cause de son côté trop effacé.
Quant à l'univers, je l'ai trouvé très bien décrit et suffisamment complexe pour être intéressant. J'ai aimé découvrir les créatures qui y vivent, comme les roomajads, ces gros lézards capables de communiquer par la pensée avec les humains, ou encore les idalys, des chevaux ailés (vous vous doutez que ce sont mes préférés !). Et puis, même s'il s'agit d'une saga destinée à la jeunesse, du haut de mes 21 ans, j'ai franchement aimé ma lecture. Le vocabulaire qu'utilise l'auteur n'est pas toujours facile et certaines scènes m'ont vraiment étonnée. Les évènements sont loin d'être prévisibles, ce qui me dérangent souvent dans ce genre de lectures.
En conclusion : Un bon premier tome, qui pose avant tout les bases pour la suite qui s'annonce très intéressante.
Lorsque j’ai lu le résumé de ce livre, il m’a vraiment bien tentée. Si j’ai mis autant de temps à le lire, c’est pour une seule et unique raison : la couverture. Je ne dis pas qu’elle est moche, non est elle très bien ; seulement, pour moi elle ne rend pas justice au contenu du livre. Je veux dire par là qu’on a l’impression que le roman est vraiment très jeunesse (en tout cas c’est l’impression que j’ai) alors qu’au final, il est pour tous les âges.
J’ai donc commencé ce livre pour le week-end à mille, mais comme vous pouvez le constater, je ne l’ai pas fini pour le challenge – que j’ai complètement loupé, d’ailleurs !
Pour moi, le plus gros point faible du roman est vraiment le début. Le début m’a assez ennuyée, et je n’aimais pas tellement. En fait, on découvre l’univers, on rentre seulement dans ce monde qu’Éric Boisset a créé, et il nous faut donc un petit temps d’adaptation.
Mais justement, ce début, cette adaptation pour l’univers, est trop long à mon goût. Elle m’a un peu rebutée, et je pense qu’il est possible que ça rebute aussi d’autres lecteurs – même s’il y en a sûrement que cela ne dérangerait pas !
Voilà donc pour le point faible du roman selon moi. Après, pour la suite, ça a roulé comme sur des roulettes !
C’est vraiment une très agréable surprise pour moi d’avoir autant apprécié ce livre. J’en ai presque oublié le début laborieux !
J’ai été vraiment prise dans l’histoire, j’avais très envie de connaître la suite !
La plume d’Éric Boisset est vraiment très fluide et addictive. Je me suis laissée emportée sans m’en être vraiment rendu compte.
Un beau moment, sans savoir pourquoi, je me suis mise à penser à la suite du livre, et j’ai alors compris que j’étais vraiment « à fond » dans ma lecture.
C’est vrai que l’univers est un poil complexe à appréhender au début, mais je vous assure qu’ensuite tout est très naturel ! C’est un univers qu’on connaît et tout nous paraît « normal ».
J’ai beaucoup aimé la narration à plusieurs personnes, nous permettant de découvrir non seulement le point de vue de nos héros, mais aussi celui d’autres personnages, plus ou moins secondaires. Je trouve que c’est une très bonne idée, même si j’ai été une fois ou deux déstabilisée par un nom que je ne connaissais pas !
Durant tout le livre, nous avons énormément de révélations, et l’action n’en finit pas ! Elle est plus ou moins intense, mais ce qui est sûr, c’est qu’on a toujours envie de continuer notre lecture pour savoir la fin !
Certaines révélations m’ont laissée perplexe ou bouche-bée. Je ne m’y attendais vraiment pas !
J’ai fini par m’attacher à tous les personnages, même si mon préféré reste sans conteste Éléa qui est vraiment géniale !
C’est un de mes personnages préférés par excellence, car elle est forte, courageuse, mais a beaucoup d’humour et est très ironique – le mélange que j’adore !
En-dehors d’elle, j’ai beaucoup aimé tous les autres, même si j’avoue que j’ai énormément de mal avec son père, bizarrement. Il m’a vraiment tapé sur le système, en fait ! Vous comprendrez certainement pourquoi si vous le lisez, et surtout vers la fin.
Au début, j’attendais donc avec grande impatience les moments où la narration était pour Éléa. Puis au final, j’ai pris autant de plaisir à lire ses parties que celles de Liam, Gofraidh ou encore Eshan !
Ne vous laissez donc pas berner par la couverture – même si je suis peut-être seule à trouver qu’elle fait un peu jeunesse – car le roman est vraiment accessible pour tous ! Je veux dire par là que même les plus grands aimeront.
Les personnages sont censés avoir 12 ans, mais personnellement j’ai trouvé qu’ils faisaient beaucoup plus dans leur maturité ! C’est vrai qu’à certains moments on se rend compte qu’ils sont encore jeunes, mais avec toutes les épreuves qu’ils traversent, cela se comprend.
Dans leur comportement, je leur aurai plus donné autour de 15 ans environ.
Donc vraiment, n’ayez pas peur de commencer ce livre en vous disant qu’il est trop jeunesse pour vous, c’est vraiment inutile de se limiter pour ça !
EN CONCLUSION, un roman qui m’a bien plus plu que ce que j’espérais !
Éric Boisset nous offre une histoire addictive et surprenante que j’avais du mal à lâcher !
Passé le début, je suis rentré dans l’histoire comme je ne le croyais pas possible.
Bien plus qu’un roman jeunesse, c’est un roman que tout le monde peut lire !
J’ai vraiment adoré ! N’hésitez pas !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...