80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le monde actuel est enclin à l'immédiateté et aux plaisirs sans cesse renouvelés. Dans ce contexte du culte du présent, les musées ne peuvent plus se contenter du public « connaisseurs » pour assurer leur subsistance. Elargir le public d'aujourd'hui en s'intéressant aux jeunes constitue par conséquent une réponse logique à cette problématique dans la mesure où les jeunes représentent les adultes de demain. Toutefois le public « jeunes » est réputé « difficile ». Croyance ou réalité? Comment approcher cette cible dominée par la culture dite populaire? Qui sont « ces jeunes »? Les 12-18 ans, les 15-20 ans? ou bien encore les 15-25 ans? Comment perçoivent-ils les musées? Comment attirer leur attention et leur offrir une expérience muséale inoubliable? Et si viser le public « jeunes » n'était pas la seule réponse au rajeunissement de l'image d'un musée? Autant de questions à se poser avant de lancer une grande opération de séduction. Suivant une enquête de terrain menée auprès de centaines de jeunes bruxellois, il apparaît que la cible « jeunes » n'est pas si compliquée et que les moyens d'attirer l'attention de ce public sont en réalité très classiques
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