Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Ce recueil se divise en trois parties, chacune d'entre elles évoquant un lieu différent : la ville, la maison et le lieu de vacances. Les poèmes, écrits dans une forme près de l'oralité, explorent les dynamiques d'un duo - un je et un tu interchangeables, presque désidentifiés, évincés d'eux-mêmes - qui vit sa fin par la désertion des lieux. Le motif de l'éviction, récurrent, illustre la précarité des liens dans un monde effréné. L'imagerie surréaliste convoquée par la poète témoigne de son refus d'accorder aux choses un sens définitif : elle cherche ainsi à désaxer les lieux, à les mettre en crise. Chaque poème est un petit tableau racontant sa propre histoire, rythmant le recueil comme un battement. il y a une fête un festival un zoo au complet les animaux se jettent dans le feu des chandelles j'ai mis du rouge à lèvres sur mes dents en te parlant trop vite je me suis cassé une jambe Laurence Gagné vient de Carleton-sur-Mer et vit à Montréal, où elle pratique la poésie. Elle a participé à plusieurs lectures publiques et a notamment publié dans les revues Moebius et Exit. Ses textes sont chaotiques et haletants, portés par un humour noir salvateur. En 2018, elle est lauréate du premier Prix de poésie Geneviève-Amyot. Les jardins de linge sale est son premier livre.
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