80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ils s'appellent Nelson, Yesica, Yhoselin, Boris, Carmen, Rosario, Juanluis, Luz Clarita... Ce sont les gamins des Andes. Vous ne les verrez pas sur le dos d'un lama, ni souffler dans une flûte de pan, ni mendier au coin d'une rue. Ils vont à l'école, ils jouent, ils travaillent parfois... mais surtout, ils rient. Ce sont juste des enfants qui vivent à plus de 4000 mètres au-dessus de nos têtes, des enfants ordinaires totalement extraordinaire !
" Je m'appelle Nelson, j'ai onze ans et je suis en CM2. J'aime aller à l'école mais je préfère quand même jouer au foot dans la rue avec mes copains. Je suis arrivé à El Alto il y a quatre ans. Avant, je vivais dans un village, plus loin, dans la montagne. Mes grands parents y habitent encore et, parfois, je retourne les voir avec mes parents et mes quatre frères. "
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année