Une série d'enquêtes inédites menées par un couple irrésistible : le peintre René Magritte et sa femme, Georgette.
Enfin les vacances, direction Knokke-le-Zoute ! Le peintre Magritte et sa femme se préparent à savourer les plaisirs de la côte belge : promenades, croquettes de crevettes et moules-frites. Mais avant ça, ils profitent de la plage, bien installés dans leur transat. Un peu plus loin, les aboiements de leur chienne sonnent la fin du farniente. En grattant dans le sable, elle a déterré une main. Une aubaine pour René et Georgette qui vont se livrer à leur plaisir secret : traquer le meurtrier.
Le peintre René Magritte et son épouse Georgette son de retour, accompagné de leur chienne Jackie dite Loulou parce que c’en est un, de Poméranie l’un des fins limiers, de redoutables enquêteurs.
Nous sommes en été le couple quitte la capital belge pour la mer du Nord et la côte flamande dans la très chic station de Knokke-le-Zoute dans l’Hôtel de la plage avec vue sur la mer.
Même si il ne fait pas toujours beau René Magritte y soigne s’est problème respiratoire. C’est un été comme les autres, avec ses promenades sur la digue, ses croquettes de crevettes et ses babeluettes, ses promenades en cuistax ou à dos de chameau. En un mot, un moment de repos parfait si ce n’était la venue, heureusement pour quelques jours, de leurs voisins insupportables (la grand-mère a toujours une carabine à plombs pour tirer sur les ballons) et de Carmen, leur femme de ménage qui non seulement n’a jamais ôté un grain de poussière mais en plus critique la peinture de Magritte qu’elle ne comprend pas.
Un soir alors qu’ils se promènent avec leurs chienne cette dernière déterre une main dans le sable. Il s’agit de celle celle de leur voisin de table à l’hôtel. La police prend sa pour un accident, René, aidé de Georgette, décide de mener l’enquête. Ils dressent le portrait de la victime : un pervers narcissique violent qui terrorisait sa seconde épouse. Celle-ci, journaliste, a disparu. Aurait-elle tué son bourreau ? Qui était donc son amant ? Bien sûr, grâce encore à Jackie, ils trouveront l’assassin avant de pouvoir rejoindre Bruxelles.
Nadine Monfils nous fait encore vivre une enquête palpitante, drôle, tout en poursuivant un portrait intime et attachant de l’artiste. L’enquête se construit à partir de scènes des tableaux de Magritte et de nombreuses références littéraires et de citations. On aime les loufoqueries dans ce roman.
Une deuxième enquête dans l'esprit de la première, avec de la légèreté, de la fantaisie et un peu d'humour. On retrouve René Magritte, son épouse Georgette et leur loulou de Poméranie sur la côte de mer du Nord à Knokke-le-Zoute pour quelques vacances et surtout un nouveau mystère mystère à résoudre autour d'une disparition mais aussi d'une noyade suspecte.
Des références aux oeuvres de Magritte jalonnent la lecture et cette fois-ci le couple rencontre brièvement Hergé (Jacques Brel dans la 1ère aventure). La lecture reste agréable même si l'intrigue est assez légère et que l'effet de découverte est moins présent, hormis le cadre avec la côte de la mer du Nord et notamment les stations de Knokke-le-Zoute, Ostende ou encore Zebrugges.
Quelques anecdotes sur la vie du couple et quelques répétitions par rapport à l'enquête précédente ont toutefois un peu freiné ma lecture. La résolution de l'enquête est également un peu rapide et tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
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