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Quinze ans après avoir quitté Kinshasa, Ophélie revient à Pakadjuma le bidonville où elle est née. Elle se rend compte que Pakadjuma est resté une enclave où les autres Kinois ne s'aventurent pas, à cause de sa mauvaise réputation. Elle doit expliquer pourquoi elle tient à partager la vie des femmes de Pakadjuma pour témoigner, les aider, mais surtout retrouver ses racines.
Elle ne se livre pas immédiatement aux habitants qu'elle rencontre, qui découvrent progressivement qu'elle est aussi des leurs, même si elle est partie il y a longtemps. Ophélie pour sa part, ne se réclame de nulle part et de partout : de Pakadjuma, de Kinshasa et Lille. Il lui faut faire le tri, trouver ses marques et redécouvrir le Pakajuma d'hier, mais aussi d'aujourd'hui pour retrouver son identité.
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