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De la pibole figurée sur les enluminures du Livre de la chasse de Gaston Phébus, au xve siècle, jusqu'à la trompe de Dampierre, longue de 4,54 m et enroulée sur un tour et demi (à la Dampierre), puis sur deux tours et demi (à la Dauphine), l'histoire de la « corne de chasse » se confond avec celle de la vénerie. Les fanfares qu'on a composées pour elle rythment les actions de chasse et clôturent la journée, qu'on ait pris l'animal ou non. « Le son du cor, le soir, au fond des bois » qu'affectionne Alfred de Vigny est familier de tous les randonneurs ou autres cueilleurs de champignons. Ce qu'on sait moins, c'est la valeur instrumentale de la trompe, sa richesse chromatique lorsqu'elle s'intègre à d'amples formations orchestrales. Lully, Philidor, Haydn ont composé pour elle. Et aujourd'hui, mieux que jamais, la trompe retrouve la place qui fut la sienne dans les grandes compositions symphoniques.
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