"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le commissaire Montaigne et son ami Lancelot de Pessac, au cours du footing matinal et dominical qu'ils effectuent ensemble ce jour-là, passant par l'Esplanade des Quinconces où ils ont l'habitude de venir saluer les grands hommes et les grands symbole de la ville, ont la surprise de découvrir, stupéfaits et horrifiés, deux cadavres décapités, maintenus droits sur des chevaux de bois de couleur et costumés en Cavaliers de l'apocalypse, respectivement la Guerre et la Conquête de part la couleur de leur cheval.
Deux autres Cavaliers également décapités suivront un peu plus tard...
Qui a pu avoir cette idée de décapitation des Quatre Cavaliers de l'Apocalypse, présentés, semble-t-il, comme la symbolique des évènements actuels : un grand pays lançant ses Cavaliers d'épouvante sur un autre plus petit qui ne demandait qu'à vivre tranquillement et démocratiquement.
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