Tentez de gagner l’un des romans de la rentrée littéraire des éditions de l’Observatoire
Dans une petite ville de l'est de la France, au mois d'août, Emma s'ennuie ferme. Jusqu'au jour où des graffitis fleurissent dans tous les quartiers de la ville. Emma en est convaincue : Bob, le graffeur, a un lien avec les cygnes décapités qu'on découvre bientôt dans le canal. Mais bien sûr, comme d'habitude, les adultes, trop occupés à sauver les apparences au prix de petits arrangements et de grands mensonges, font semblant de rien.
Il faut la mort d'une jeune serveuse sans histoire pour qu'enfin policiers, parents, maire, voisins, se mettent à s'intéresser à ces étranges événements.
Les regards se tournent alors vers la jeunesse de la ville, qui fait circuler un livre trop révolutionnaire pour être honnête, Le Massacre de Pangbourne de J. G. Ballard, où les enfants se retournent contre les adultes.Les enfants frapperont-ils encore ? Ou au contraire tout repose-t-il désormais sur les épaules de quelques jeunes idéalistes, au premier rang desquels Emma et sa soeur Amélie ?
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Laure Catherine, alias Busty, sort de l’univers musical pur - Une saison d'écrivains, épisode 2
Au milieu de la jeunesse, des tags, des animaux tués, et un meurtre. Il y a comme des allures de polar, comme une impression de s’immerger dans un vieux Chair de Poule, et la sensation se renforce lorsqu’un livre est évoqué, Le Massacre de Pangbourne, roman engageant les enfants à tuer les adultes. Malheureusement, l’intrigue ne suit pas. Le meurtre n’est qu’une excuse, un ballon qui se dégonfle. D’un univers que j’imaginais noir, bardé de menaces, on stagne aux bavardages des adolescents, à leurs conjectures qui n’amènent jamais autre chose que la passivité.
Plusieurs thèmes abordés, impression que rien ne s’achève. Des adultes qui gravitent avec leurs secrets. Des histoires au passé qui s’entremêlent, se révèlent, sans que cela offre un intérêt à la lecture. Dommage. Un roman qui ouvre plusieurs portes, arpente différents chemins mais ne sait finalement pas clôturer toutes les idées exposées.
https://hubris-libris.blogspot.com/2018/10/les-enfants-frapperont-ils-encore-laure.html
Je vais avoir du mal à vous parler de ce roman. Je ne me suis pas sentie concerner. Aucun personnage ne m'a donné l'envie de le connaître un peu plus.
Je n'ai pas compris où voulait nous emmener l'auteure. Elle aborde des thèmes intéressants comme la jeunesse, la famille, la rébellion, mais ils ne sont pas aboutis.
Et pourtant, je suis allée jusqu'au mot FIN. Je voulais savoir comment ces jeunes allaient s'en sortir. J'ai eu peur de louper quelque chose !
Les chapitres sont assez longs et le récit a du mal à démarrer. On s'attarde sur les "BOB" pendant des pages. L'intrigue policière est très diluée.
Ma chronique complète pour comprendre ma note très moyenne : https://vie-quotidienne-de-flaure.blogspot.com/2018/10/Les-enfants-frapperont-ils-encore-Laure-CATHERINE.html
J’adore lire les « premiers romans », j’aime découvrir une nouvelle ambiance, un nouveau monde et souvent un nouveau style. Pourtant je n’ai que moyennement aimé l’histoire que nous propose Laure Catherine, l’histoire d’une ado Emma qui s’ennuie ferme dans une petite ville typiquement provinciale. En plein mois d’Août, elle doit jouer les baby Sitter auprès de sa jeune sœur surdouée de 9 ans pour aider sa mère qui peine à s’en sortir. Une vie de famille somme toute banale mais qui va changer lorsque seront retrouvés des cygnes décapités puis le cadavre d’une jeune femme noyée. Qui est l’auteur de ces actes barbares ? L’enquête est confiée au Lieutenant Da Silva…
J’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire principalement parce que tout tourne autour du monde des adolescents et que j’ai passé l’âge. A force de nous parler de l’ennui, de la désespérance, de l’alcool de la drogue comme solution pour faire passer le temps, vu qu’il n’y a rien à faire et bien moi aussi je me suis ennuyée au fil des pages où rien ne se passe vraiment. Cela manque terriblement d’action. On oscille entre désœuvrement, addiction aux jeux vidéos et aux réseaux sociaux et satyre sociale. Cette période de l’adolescence n’est pas la plus agréable qu’il soit entre amour déçu, scolarité non investie et malheureusement le portrait des jeunes gens qui viennent de catégories sociaux professionnelles différentes ne suffit pas à ranimer l’intérêt.
https://leslivresdejoelle.blogspot.com/2018/09/les-enfants-frapperont-ils-encore-de.html
Au mois d’août, dans une petite ville de l'est de la France, nous suivons des jeunes de la Cité des Charmilles. Emma, seize ans, s'ennuie à mourir, sa mère l'a obligée à rester chez eux pour garder sa petite sœur de neuf ans, Amélie.
Un jour, des graffitis fleurissent sur les murs de la ville alors que parallèlement on retrouve des cygnes décapités. Est-ce que le graffeur Bob est le coupable comme le pense Emma?
Quand le cadavre d'une jeune serveuse sans histoires est retrouvé dans le canal, les adultes, policiers en tête, commencent à s'intéresser aux étranges événements qui se sont produits dans le quartier ces derniers temps. Ils se tournent vers les jeunes de la ville parmi lesquels circule depuis plusieurs semaines un livre "Le massacre de Pangbourne" de J.G. Ballard qui illustre la peur des parents d'être dépassés par leurs enfants, de les voir se retourner contre eux. Des histoires de jeunes qui tuent des adultes... Emma et sa jeune sœur vont partir à la recherche de la vérité.
L'écriture est agréable et fluide. Laure Catherine excelle pour décrire ces jeunes adolescents désœuvrés, absorbés par leurs jeux vidéos et les réseaux sociaux, gros consommateurs de shit et friands de trafics en tous genres. Cependant pour moi, ce récit a manqué globalement d'action et je me suis vite lassée de l'histoire de ces jeunes. Voilà un roman qui manifestement n'était pas pour moi mais je suis certaine qu'il trouvera son public. Je retrouverai avec plaisir cette auteure à l'occasion de son second roman.
Emma et sa petite soeur Amélie, Arthur et son petit frère Paul, Baptiste et Gaspard … Anisha, la “pak-pak”, des adolescents un peu paumés, des parents dépassés par leurs problèmes ou tragédie, des tags sur les murs (”BOB”), des cygnes décapités, une jeune fille de vingt ans, Célia, retrouvée noyée, des policiers perdus et le fameux Boris … Tout ceci du côté du bois d’Arcy …
Autant d’ingrédients - à première vue - pour qu’un roman vous tienne en haleine, hélas point d’alchimie pour ma part … Ces jeunes n’ont pas su toucher mon coeur de mère pourtant sensible … L’écriture ? Le manque d’attrait de l’intrigue ? Je ne saurais dire … Pas d’immersion et encore moins de coup de coeur …
Très intéressant l histoire elle me plait beaucoup ,se suspens avec ses cygnes , ses meurtres une bonne histoire à decouvrir avec plaisir
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