Le pouvoir lacrymal de ce conte qui m'entête est infini, par la grâce de son auteur, qui touche au plus profond de l'être... Ne cherchez pas quel est ce conte... tellement universel que vous le trouverez sans le chercher, même sans fuite... Non, il y a une suite, que je vais vous révéler... Les premières lueurs de l'aube me firent comme une caresse... Je me redressai à demi... quand une petite voix si proche me fit sursauter : J'ai faim et j'ai soif. S'il vous plaît, donne-moi un croûton, de pain, et de l'eau. Il fait si chaud ! Ce conte s'adresse aux philosophes en herbe, et à leurs aînés qui n'ont pas renoncé à vivre leurs rêves.
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